Le diagnostic d’un most cancers chez une personne jeune et en apparente bonne santé, comme Kate Middleton, frappe toujours l’creativeness par son côté injuste et dramatique. Il faut cependant garder en tête qu’il s’agit de cas rares : la grande majorité des cancers requièrent plusieurs décennies pour se manifester et, pour plusieurs d’entre eux, on peut empêcher leur développement par un mode de vie sain.
Nous avons tous entendu parler de ces fameux oncles, tantes ou autres « bons vivants » qui ont vécu jusqu’à un âge avancé en fumant toute leur vie, pendant que d’autres personnes, qui n’avaient pourtant jamais fait le moindre excès sont touchées par un most cancers en bas âge.
Ces exemples constituent souvent le principal argument des gens pour justifier de ne pas changer leurs mauvaises habitudes de vie, automotive ils suggèrent que notre destin est déjà tracé à la naissance par l’hérédité et ne sera pas modifié quoique l’on fasse.
Pourtant, même s’ils existent réellement, ces cas extrêmes ne correspondent pas à la réalité telle qu’elle est vécue par l’immense majorité de la inhabitants : ce sont d’abord et avant tout des exceptions.
Du level de vue statistique, tous les phénomènes qui impliquent un grand nombre de personnes vont présenter des exceptions de ce sort. On peut penser par exemple aux résultats d’un examen, où un petit nombre d’étudiants vont obtenir une excellente be aware, un petit groupe obtiendra une be aware médiocre, tandis que la grande majorité des élèves aura une gamme de résultats allant de satisfactory à très bien, une be aware qui reflète très souvent le expertise et la somme de travail consacré à la préparation de l’examen.
C’est exactement le même phénomène qui entre en jeu lorsque l’on regarde la durée de vie des individus dans une inhabitants : il y aura toujours un petit groupe d’individus chanceux, avec de bons gènes, qui vivra à un âge avancé quoi qu’il arrive, et un autre, beaucoup plus malchanceux, avec une mauvaise prédisposition génétique, qui décédera en bas âge.
Pour la très grande majorité de la inhabitants, cependant, la durée de vie se situe entre ces deux extrêmes et dépend en majeure partie des choix de vie qui sont effectués.
- Écoutez l’entrevue avec Marc Decelles, directeur général de la Fondation québécoise du most cancers à l’émission de Sophie Durocher by way of QUB :
Le most cancers touche d’abord les plus vieux
Ceci est particulièrement vrai en ce qui concerne une maladie aussi complexe que le most cancers.
À la base, le most cancers est une maladie causée par des gènes défectueux qui s’accumulent au cours du vieillissement et c’est pour cette raison que la grande majorité des cancers touchent des personnes âgées de 60 ans et plus.
Alors qu’on observe environ 250 cas de cancers par 100 000 personnes âgées de 40-45 ans, ce nombre explose à presque 2500 cas par 100 000 entre 75-80 ans, soit 10 fois plus.
Cependant, l’expression de ces gènes procancéreux est dans la plupart des cas fortement influencée par le mode de vie. L’augmentation spectaculaire du most cancers colorectal chez les jeunes adultes, associée à la pandémie d’obésité, dans les années récentes, est un bon exemple de cette interplay gène-mode de vie.
On estime que jusqu’à 50-70 % des mortalités par most cancers peuvent être évitées en adoptant 5 règles de base de prévention, à savoir ne pas fumer, maintenir un poids corporel regular (IMC entre 18 et 25), faire de l’exercice régulièrement, réduire sa consommation d’alcool et adopter une alimentation riche en végétaux. Ce sont là les recommandations du Fonds mondial de recherche contre le most cancers et de l’ensemble des organismes de lutte au most cancers à travers le monde.
La malchance existe
Évidemment, il y aura toujours des exceptions : certains gènes procancéreux sont plus nocifs que d’autres et s’expriment même chez des personnes qui ont un mode de vie optimum, tandis que complètement à l’inverse, certaines personnes ont gagné la loterie génétique et ne développeront jamais de most cancers, même en ayant des habitudes de vie médiocres.
Comme nous ignorons nos prédispositions génétiques, nous avons tous intérêt à adopter de saines habitudes de vie, automotive elles augmenteront notre espérance de vie, en modulant différemment cet héritage génétique.
En somme, même s’il est indéniable que le most cancers est parfois une pure malchance, surtout lorsque la maladie frappe en bas âge, cela ne doit pas nous faire oublier que pour la majorité des gens, l’adoption d’un mode de vie sain augmente significativement les probabilités d’échapper cette horrible maladie qui demeure la première trigger de mortalité au Canada.